Lire aussi le texte d’Antonia Bernard qui fut une des traductrices françaises de l’oeuvre de Boris Pahor :
Boris Pahor ou l’originalité de la littérature Slovène de Trieste
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fabienne issartel 
je vien de voir le documentaire, vraiment emouvant et tres bien faite, j’espere qu’il va etre passe autre fois a Trieste! Chapeu!
J’ai découvert Boris Pahor suite à une émission Jean Lebrun.; un extrait de « printemps difficile » a été lu et je me suis précipité chez mon libraire… Je n’ai pas été déçu. A travers le dialogue amoureux entre le slovène Radko Suban , rescapé des camps de la mort; et Arlette, sa très jeune infirmière française … on suit à la fois l’histoire singulière de deux individus et en arrière plan celle grande et terrible l’Europe. C’est , je pense, un chef d’oeuvre, d’un point de vue littéraire, en même temps qu’une réflexion sur le destin de l’Europe. il faudrait rééditer les deux autres ouvrages de sa trilogie autour du destin de Radko, largement autobiographique. Je ne manquerai pas d’aller voir votre documentaire, lorsqu’il passera à Albi.