About

QUI EST FABIENNE ISSARTEL ?

FABIENNE ISSARTEL EST UNE RÉALISATRICE DE DOCUMENTAIRES

fabienne.issartel@wanadoo.fr

(CV français et anglais)

Fabienne Issartel développe d’abord dans les années 90 un travail personnel autoproduit autour de ses “films-promenade”. Le dispositif qu’elle met en place entre réalité et fiction permet à chaque film de circonscrire poétiquement un lieu de Paris. C’est ainsi que naîtront “Là-haut sur la montagne”(rue de Ménilmontant), “État de Siège”(la Seine et les Bateaux-bus) ou“Printemps”(canal Saint-Martin). Dans les documentaires de Fabienne Issartel il y a cette volonté de révéler la dimension de « personnage » des gens filmés. Cette approche la conduira à la réalisation de documentaires avec des héros qui souvent sont des artistes qu’elle apprécie. Musiciens, sculpteurs, cinéastes et écrivains viennent faire un bout de chemin devant sa caméra. Fabienne Issartel les regarde avec la curiosité d’un promeneur qui aime se laisser entraîner. D’un film à l’autre, c’est la propre quête de la réalisatrice que l’on retrouve. Entre certitude et doute, elle se demnde “Ou allons-nous ?”. Ce à quoi elle répond : “vers ce quelque part qui n’est peut-être nulle part… mais nous y allons !”

En 2016 elle renoue avec les “films promenade” avec “ Chacun cherche son train” diffusé sur France 3, une digression ferroviaire poétique sur les aléas de l’accélération du monde.“ Les écrans sont ces miroirs du temps qui annulent l’horizon”,dit Paul Virilio, le grand penseur de la vitesse. “Alors, comment retrouver un rythme propre, notre petit tempo battant” se demandent les protagonistes du film, passagers en quête de sens sur le chemin furtif de la vie et dont le train devient ici la métaphore.

Dans son projet sur “Miklos Jancso, une vie en plan séquence”la réalisatrice montrera comment le grand cinéaste hongrois a fait du plan-séquence un outil cinématographique révolutionnaire.

Dans“Boris Pahor, portrait d’un homme libre” (98′, autoproduction) une évocation de l’écrivain slovène de Trieste Boris Pahor présenté en avant-premières dans toute l’Europe, s’entremêlent plusieurs niveaux de récits d’une vie d’écrivain engagée dans la résistance aux dictatures.

“(Délits) de Solidarité”qui se propose d’aborder l’idée de l’identité à travers la question des migrants est encore un film européen. Des boat-people sauvés en mer de Chine par la France dans les années 80 aux murs qui s’élèvent un peu partout ces jours-ci à nos frontières, comment penser avec justice et justesse au sein de notre continent la notion d’accueil et de fraternité ?

En suivant bientôt l’essayiste icônique Pacôme Thiellement pendant son travail d’écriture d’un livre sur Rimbaud, le poète rebelle, elle suit toujours le même fil d’Ariane, celui de questionner avec passion le sens de la vie. En parrallèle aux phases de recherche de financements pour ses projets, elle poursuit un travail auto-produit proposé via sa série “RUSHES N°” pour partager avec le public des réseaux sociaux des documents de travail bruts et enrichir ses quêtes.

EN ANGLAIS

THE DIRECTOR Fabienne Issartel

Fabienne Issartel Film Kodak Portra 400  Rolleiflex 2,8 GX 14 juin 2014

Fabienne Issartel par Laurent Charpentier

In the early 90’s Fabienne Issartel first developed an original work around the idea of “walking movies”. She imagined a special balance between reality and fiction in order to poetically circumscribe Paris landscapes as she did in her movies “On the top of the hill” (rue de Ménilmontant), “State of  Siege” (the Seine and its Bateau-bus) or “Spring” (on Saint-Martin Canal). In her documentaries Fabienne Issartel tries to reveal the inner “Character” dimension of the protagonists. This approach leads her to make documentaries with heroes who are often artists she personally appreciates. Musicians, sculptors, filmmakers and writers have taken a walk with her and the lens of her camera. Fabienne Issartel looks at them with the curiosity of a walker who likes to be dragged along. From one film to another, it’s the director’s own quest that comes back. Between certainty and doubt, she wonders “where are we all going?” A question to which she answers: “somewhere, that may be nowhere… but anyway, we’re going!” In 2016, she returned to her initial passion for “walking movies” while shooting “Everyone is in search of their own train” broadcast on France3 television, a poetic railway digression about the acceleration of the world. “Screens are the mirrors of time which cancel the horizon”, says Paul Virilio, the great theoretician of speed.

“So how is it possible to find our own rhythm, our own beat in that running world?” the protagonists of the film wonder, passengers searching the meaning of their lives that look like a metaphoric train. In her movie project about Miklós Jancsó, “A life as a long sequence shot”, she wants to explain how the great Hungarian filmmaker has used the one shot sequence plan as a revolutionary tool. In “Boris Pahor, portrait of a free man” (98′, self produced), the evocation of the 106-year-old Slovenian writer of Trieste, Boris Pahor, presented in previews throughout Europe, several levels of stories are mixed to describe a nonstop life-long fight against the 20th century European dictatorships. “Crime of Solidarity” will deal with the idea of identity through the migrant issue. Considering the boat-people rescued in the China Sea by France in the 80’s and today’s walls rising up everywhere in Europe at our borders, how can we be sure to be right about welcome and fraternity? Finally, she is about to follow the French iconic essayist Pacôme Thiellement during his writing work for a book on Arthur Rimbaud, the famous rebellious poet. Meanwhile she is also going on with a self-produced work, a series called “RUSHES Nr.”, posted on social networks, to share raw documents with the public in order to strengthen and go deeper in her quests. (Traduction Patrice Issartel)

SELECTIVE FILMOGRAPHY

Le supporter solitaire (2019, 97’)

Boris Pahor, portrait d’un homme libre (2014-2017, 98’)

Chacun cherche son train (2016, 52’)

Moi, Jean Lacombe, marin et cinéaste (2013, 52’)

Aux pays de la morue (2011, 52’)

Une grande histoire d’amour (2005, 38’)

5 réalisateurs à Pécs (2006, 35’)

Le corps de Médéric Collignon (2004, 26’)

Paul Grimault, image par image (2003, 52’)

Le ciel est sous nos pieds (2003, 63’)

Les aventures de Louis Sclavis (2002, 52’)

Guillaume Connesson, de l’ombre à la lumière (2002, 26’)

Tempo Casadesus (2001, 52’)

Un air de famille : les Landowski (1999)

Le voyage immobile (1999, 32’)

Printemps (1996, 38’)

État de Siège (1995, 20’)

Porte de Montempoivre (1994, 26’)

Qui vivra verra (1993, 26’)

Là-haut sur la montagne (1992, 26’)

 IN PREPARATION

Our Mitteleuropa, with writers and artists from the middle of Europe, 90’

Miklos Jancso, une vie en plan séquence, portrait du grand réalisateur hongrois, génie du   plan-séquence, 60’

(Délits) de solidarité, une réflexion sur le sens de l’idée de l’accueil et de la solidarité, 52’

Le Rimbaud de Pacôme Thiellement, promenade dans le cerveau d’un écrivain, 60’

 

Filmographie avec quelques détails

« Boris Pahor : portrait d’un homme libre ! », documentaire 98’, 2014-2017. Auto-production, avec l’aide de Sycomore Films. Le film en langue originale française vient d’être sous-titré en langue slovène.
Boris Pahor qui aura 107 ans au mois d’août 2020, est un des plus grands écrivains européens qui a traversé le siècle en dénonçant ses dictatures. « Non au fascisme, non au nazisme et non au communisme », déclare-t-il dans son livre « Trois fois non ! ». Né à Trieste en 1913 dans la communauté slovène de cette ville frontière alors austro-hongroise, il sera emmené dans les camps nazis, et notamment au Struthof en France, dans les Vosges. Il est aujourd’hui un écrivain engagé de renommée internationale.

DOCUMENTAIRES LONGS DIFFUSES 2017/1988

« Chacun cherche son train », 52′, une coproduction Marmitafilms/France télévision diffusé la première fois le 26 septembre sur France 3 Poitou Charentes et rediffusé plusieurs fois jusqu’en 2018. Avant-premières au Cin’Hoche de Bagnolet et au Centre Intercommunal de St Pierre des Corps, près de Tours. Sélectionné au festival Les Escales Documentaires de la Rochelle 2016.

« Immobiles devant les fenêtres du train, les écrans de cinéma, ou ceux des ordinateurs, nous regardons défiler notre monde en pleine mutation, spectateurs de ce mouvement étrange qui nous déconnecte de « notre temps d’’homme ». « Les écrans sont ces miroirs du temps qui annulent l’’horizon » dit Paul Virilio, le grand penseur de la vitesse. « Alors, comment retrouver un rythme propre au coeur de cette accélération inéluctable ? », se demandent les protagonistes du film, passagers en quête de sens dans le voyage furtif de la vie, et dont le train devient ici la métaphore. Un « film promenade » – dans un style qu’’affectionne la réalisatrice – en marche vers ce processus dans lequel l’’homme et la machine cherche désespérément à s’’aimer.

« MOI JEAN LACOMBE MARIN ET CINÉASTE », 2013, documentaire 52’ (AMIP/France télévision). (diffusion le 27 septembre 2013 sur France 3 Poitou Charente, rediffusion France 3 mai 2016). Aujourd’hui c’est Yoann Dhenin de L’Heure bleue Production, qui veille à la destinée du film. Un DVD du documentaire est disponible auprès de lui. Le film a été projeté maintes fois (La Rochelle, festival FILMAR 2018 à Hendaye, festival de la Ciotat à l’Eden Théâtre en mars 14…). Sélectionné au festival « Etonnants Voyageurs » en 2014 il a fait l’objet d’une tournée de 4 projections organisées par La Cinémathèque de Bretagne en 2019.  Prix « Mémoires de la mer » de la Corderie Royale de Rochefort en mars 14.

Jean Lacombe passera sa vie de façon obsessionnelle à traverser l’Atlantique sur de tous petits bateaux. Grâce à la numérisation de ses propres images en 16 mm, découvertes après sa mort en 1995 à la Martinique, il a été enfin possible de raconter son histoire, qui croise celle de l’Amérique où il a vécu, celle des premières courses mythiques OSTAR en solitaire, et celle du début de la plaisance moderne aux côtés de Tabarly. Félicité au Salon Nautique de Paris en 65 par le Général De Gaulle, il se met en scène partout, sur ses bateaux au milieu de l’océan, mais aussi à New-York ou aux Açores, en inventant des techniques d’auto filmage avant l’heure.

« AUX PAYS DE LA MORUE », documentaire, 52’, 2011, 13 productions/France 3 Poitou Charente. Comment la pêche et le commerce de la morue ont dynamisé toute l’économie française pendant six siècles ? Une aventure humaine mythique : celle de la grande pêche qui emmenait les hommes pendant de longs mois moins de leurs foyers. Diffusion en avril 2012 sur France 3, et rediffusion en septembre 2013. Projeté au « Festival Etonnants Voyageurs » en Juin 2012, et au « Festival Pêcheurs du Monde » de Lorient en 2013.

« UNE GRANDE HISTOIRE D’AMOUR », documentaire, 38’, 2005, raconte le tournage du film « Quand la mer monte » de Yolande Moreau et Gilles Porte (2 Césars en mars 2005).
Diffusions sur Ciné Cinéma Auteur en février et mars 2007 + présence sur le DVD, rediffusions en février 2012 sur Ciné + Club

« 5 REALISATEURS À PÉCS », documentaire, 35’, 2006 : 5 réalisateurs de plusieurs pays d’Europe Centrale s’expriment sur les questions fondamentales de la survie de leur cinéma national dans un documentaire franco-hongrois, tourné lors du Premier Festival du Jeune Cinéma d’Europe Centrale de Pécs (Hongrie).
Projection à l’Entrepot le 17 mars 2006, en octobre 2006 sur Télé Essonne, et au 2ème Festival de Pécs 2006 en Hongrie. Pour toute projection ou diffusion de ce film, contactez la réalisatrice.

« LE FESTIVAL DE PÉCS », documentaire, 15’, 2006 : les lauréats du 1er festival de cinéma de Pécs (Hongrie) dans « Métropolis » de P.A Boutang, diffusion 11 mars 2006.

« LE CORPS DE MÉDÉRIC COLLIGNON », documentaire, 26’, 2004. Un des premiers portraits d’un des plus talentueux musiciens de jazz d’aujourd’hui, le cornettiste Médéric Collignon. Comment les accidents, et les cicatrices du corps de Médéric ont nourri son âme, sa vie et ses fantasmagories musicales. 1ère diffusion le 11 septembre 2004 sur France 3 Lorraine Champagne Ardennes.

« PAUL GRIMAULT IMAGE PAR IMAGE », documentaire, 52’, 2004. L’histoire de la création de ce chef d’œuvre, dans l’intimité de l’univers de Paul Grimault. Ce film accompagne à la télé et en DVD la sortie du chef d’oeuvre le «Roi et l’Oiseau » restauré.
5 diffusions fin 2003 sur Cinéma succès et Canal + en 2004. Sortie du DVD en novembre 2003. Rediffusions en 2013.Sélectionné au FIPA 2004 dans la section « Situations de la création française » et aussi « Mention spéciale » du jury attribuée à l’ensemble du DVD au festival de Cannes 2004.

« LE CIEL EST SOUS NOS PIEDS », documentaire, 63’, 2003. Portrait du grand sculpteur hongrois Pierre Székely, disparu soudainement le 3 avril 2001 pendant le tournage du film : une quête mystique à la recherche de la troisième réalité de l’artiste… qui parachève ses sculptures monumentales de granit à la flamme avec son chalumeau Salamandre Alpha. Diffusion juin 2003 (Télé Essonne), présenté aux Portes Ouvertes de Bagnolet en 2013. Prix du scénario au Festival International du film d’Art et Pédagogique de l’Unesco en décembre 2003

« LES AVENTURES DE LOUIS SCLAVIS », documentaire, 52’, 2002, réalisé en suivant le célèbre clarinettiste saxophoniste, dans les méandres d’un travail de recherche incessant. Un film au coeur des interrogations quotidiennes d’un artiste fascinant, aux multiples facettes.
Première diffusion sur Paris Première, juillet 2002. Sélectionné au FIPA 2003.

« GUILLAUME CONNESSON DE L’OMBRE A LA LUMIERE », documentaire, 26’, 2002. En trois parties, le film rend compte de la création d’une œuvre contemporaine du compositeur Guillaume Connesson – écriture, répétitions, puis création mondiale – et nous immerge dans la tête d’un jeune artiste fougueux qui aime Péguy.
Diffusion sur Mezzo et France 2, 2002, rediffusion sur France 2, 2003, et en juillet 2006 sur Mezzo.

« LOUIS SCLAVIS EN MARCHE », documentaire, 26’, 2002. Un film avec Louis Sclavis,  musicien de jazz toujours avide de découvrir de nouveaux territoires musicaux.
Diffusion Mezzo, et France 2, 2002, et France 2 en 2003.

« TEMPO CASADESUS », documentaire, 52’, 2001. Portraits croisés des membres de cette prestigieuse famille de musiciens : les « Casadesus ». Autour du personnage central de Jean-Claude Casadesus, Chef d’Orchestre de l’Orchestre National de Lille, nous comprenons comment s’opère chez les Casadesus, cette stimulation artistique de générations en générations.
Diffusion MUZZIK 2001, rediffusion sur Mezzo 2003, TV5 juin 2004 et Mezzo novembre 2004. Diffusion à Lille en présence de J.C Casadesus.

« LA 5e SYMPHONIE », document/captation, 52’, 2001. La «5ème Symphonie » de Beethoven dirigée par Jean-Claude Casadesus à l’Unesco est précédée de 20’ de répétitions et interviews de J.C. Casadesus.
Diffusion France 3 en 2002 et en 2003.

« UN AIR DE FAMILLE : LES LANDOWSKI » : documentaire en deux épisodes de 32’ et version longue 52’, 1999. Un portrait de Marcel Landowski, compositeur, personnage politique, Chancelier de l’Institut, au milieu des siens.
Diffusion France 3, mars 1999. Rediffusé sur France 3 après sa disparition le 15 janvier 2000 pour une soirée « hommage ».

«LE VOYAGE IMMOBILE», documentaire, 32’, 1999. La rencontre exceptionnelle de trois personnalités de la musique improvisée : Louis Sclavis, Fred Frith et Jean-Pierre Drouet. Tourné lors d’un concert unique à Bobigny pendant le festival Banlieues Bleues.
Première diffusion MUZZIK et France 3 décembre 99, puis dans toute l’Europe. Diffusion au « Cinéma des Cinéastes », Paris, 2007, lors d’une journée «hommage à Louis Sclavis ».

« OU VA LE LAPIN ? », documentaire, 30’,1997. En 5 épisodes, la réalisation en direct d’un Strip en 5 cases devant la caméra par cinq graphistes de l’iconoclaste maison d’édition de bande dessinée : « l’Association ».

« LA DERNIÈRE JAVA DU FAUBOURG », documentaire,11’, 1991. Une ballade dans le Faubourg St Antoine où survivent encore les tous derniers mohicans de l’artisanat traditionnel du meuble qui habitaient poétiquement ce vieux quartier de la Bastille. Diffusé dans MAG-CITES sur France 3 I.D.F, mars 92.

« PLACID ET MUZO : À RIRE OU À PLEURER ? », documentaire peinture 20’, 1988. Lors d’une exposition en duo des deux artistes aujourd’hui célèbres, on demande à leurs acheteurs d’exprimer l’engouement pour leur oeuvre et pourquoi ils leur donnent envie d’investir.
Diffusé sur Canal Plus en 1988 pendant une « Nuit sur l’Art ».

COLLABORATIONS A DES MAGAZINES CULTURELS :
2008 – 1992

2006 – 2009 – Magazine hebdomadaire : « MA VIE EST UNE AVENTURE », Diffusion hebdomadaire sur France 3 Limousin Poitou Charente le samedi. Réalisation de plus de 80 portraits documentaires de 4 à 5’, de gens connus et inconnus et dont la vie est une aventure. Diffusion hebdomadaire sur France 3 Limousin Poitou Charente les samedi, de juin 2006 à avril 2009. Dernière diffusion 2010.

2002 – 2006 « J’AI PAS SOMMEIL » : Magazine Culturel National
REALISATRICE DU MAGAZINE NATIONAL.
Diffusion mensuelle sur France 3. Réalisation des plateaux en décors naturels et des portraits documentaires de l’émission. Diffusion nationale de 2002 à juin 2006,

SPÉCIALE DE « J’AI PAS SOMMEIL »
« J’AI PAS SOMMEIL A LILLE CAPITALE EUROPÉENNE DE LA CULTURE ! », documentaire, 52’, 2004. Promenade poétique auprès des différents acteurs de la manifestation « Lille, Capitale Européenne de la Culture ». Diffusion France 3, 2004.

1992 – 1994 « RAM-DAM » : magazine culturel de France 3 Ile de France. Collaboratrice régulière de l’émission. Réalisation de portraits.

OEUVRES PERSONNELLES AUTOPRODUITES : 1987 -2010

« Mardi 15 Janvier : Paris – France » : reportage fiction (20’), tourné en vidéo 8, l’incertitude de quelques personnes réunies la veille de l’ultimatum de la guerre du Golf.
Projeté aux E.P.E. , rue du Chemin Vert, 11e

« Un monde de rave » : documentaire (12’) sur le milieu « rave » à Paris en 1992 qui se termine par la dernière « rave » à Mozinor.
Vidéothèque de Paris (consultation) et diffusion en salle en mai 96 (« avoir 20 ans »)

« Là -haut sur la montagne » : reportage fiction (26’), tourné en Betacam, le chemin de croix d’un alcoolique un Vendredi Saint le long de la rue de Ménilmontant.
Projeté aux E.P.E., au festival de Belleville et dans de nombreuses soirées vidéo (cafés, Peyotl…)

« Qui vivra verra » : reportage fiction (26’), tourné en Betacam, « si nous ne pouvons penser la mort ni pendant, ni avant, ni après : alors quand pourrons-nous la penser ? » Cinq personnages nous livre une vision de leur propre mort.
Projeté dans le jardin du Luxembourg

« Porte de Montempoivre » : reportage-fiction (26’), tourné en HI8 et monté en Béta/Six histoires courtes de rencontres parisiennes au mois de juillet sur la plate-forme du bus 29, direction Porte de Montempoivre.
Diffusé en avril 95 au festival de Montréal et en octobre 95 au Festival de Belleville, au Centre Wallonie Bruxelles en mars 97.

« État de Siège » : reportage-fiction (20’, béta), deux personnages désœuvrés découvrent les joies des bateaux-mouches livrés aux Parisiens pendant les grèves de décembre 95.
Diffusion en octobre 96 au Reflet République, Paris 11e

« Printemps » : reportage-fiction (35’), histoires croisées de dix personnages en errance le long du canal St Martin. Novembre 96, projeté au Centre Wallonie Bruxelles en mars 97.

« La mort de Claude », documentaire, 52’, 2010. Les images des obsèques de la grande violoncelliste Claude Baron Renault sont mises en lumière par un interview dans lequel la musicienne s’exprimait plusieurs années avant sur l’idée de sa propre mort. Diffusions privées.

 

 

 

2 réflexions sur “About

  1. Vimard dit :

    Bonsoir,
    Je viens d’assister à la soirée en hommage à Claude Baron-Renault au Conservatoire de Paris. J’en suis sorti particulierement ému par la découverte de cette grande violoncelliste. Je m’intéresse tout particulièrement aux musiciens français de grand talent qui n’ont pas eu la couverture médiatique de ceux que l’Histoire a retenue. En faisant des recherches sur Internet je suis arrivé sur votre site et je me demandais si il était possible d’obtenir une copie de votre documentaire?
    Bien cordialement,
    Rémi Vimard
    ANALOG COLLECTOR

  2. Eric Marion dit :

    Bonjour Fabienne,

    Tout d’abord tous mes vœux pour 2015, malgré la tristesse qui vient de s’abattre.

    Je vous contacte à propos de votre film sur Jean Lacombe.
    Hasard de la vie, mercredi, après le rassemblement à la République avec un ami nous sommes allés boire un verre dans un bar.

    Un homme un peu triste à côté de nous, la conversation s’engage. Il avait croisé Wolinski il y a quelques années, mais également un homme étonnant avec qui il avait travaillé dans la démolition à New York : Jean Lacombe. Il nous raconte l’histoire de ce drôle de marin.
    Nous lui racontons qu’également fin 2015, nous allons faire notre première transat.

    Avec cet ami, nous sommes technicien pour la télévision, lui JRI permanent à FranceÔ et moi monteur intermittent.
    Nous lui promettons de voir ce qui est possible et c’est ce qui me fait vous écrire.
    Et puis maintenant, on aimerait bien voir aussi le film.

    Eric Marion

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