Archives Mensuelles: juin 2014

MON “ Boris Pahor, portrait d’un homme libre ” A ETE PROJETÉ À PARIS EN AVANT-PREMIÈRE. Salle comble et enthousiasme général ! Je suis ravie !

Un portrait de Boris Pahor et de Fabienne Issartel, mars 2014, vu par Slobodan Obrenic

Un portrait de Boris Pahor et de Fabienne Issartel,en mars 2014, vu par Slobodan Obrenic à Ljubljana

VOILA UN ARTICLE DANS LE FIGARO LITTÉRAIRE DE CETTE SEMAINE (19 juin) DE THIERRY CLERMONT, QUI ÉTAIT PRÉSENT À LA PROJECTION DE MON DOCUMENTAIRE SAMEDI DERNIER !

Cliquez sur ce lien pour le lire :
─ìlanek B Pahor v FIGARO LITTERAIRE

Mes chers spectateurs au cinéma Saint-André-des-Arts samedi matin 14 juin 2014, venus rencontrer Boris Pahor dans mon film et en vrai ! Photo Arnaud Baumann. Tous droits réservés.

Mes chers spectateurs au cinéma Saint-André-des-Arts samedi matin 14 juin 2014, venus rencontrer Boris Pahor dans mon film et en vrai !
Photo Arnaud Baumann. Tous droits réservés.

A l'entrée dans la salle. De gauche à droite au fond : Pacôme Thiellement, Jacky Berroyer, Delfeil de Ton et sa femme Renée, nous saluent. Photo Arnaud Baumann. Tous droits réservés.

A l’entrée dans la salle. De gauche à droite au fond : Pacôme Thiellement, Jacky Berroyer, Delfeil de Ton et sa femme Renée, nous saluent. Photo Arnaud Baumann. Tous droits réservés.

l’affiche du film par Slobodan Obrenic.

Il reste encore quelques affiches imprimées « collectors » de l’événement… En faire la demande auprès de la réalisatrice (fabienne.issartel@wanadoo.fr)

Boris Pahor sur France Inter :
Vous pouvez réécoutez BORIS PAHOR SUR FRANCE INTER DANS LA MARCHE DE L’HISTOIRE du VENDREDI 27 JUIN DE 13 h 30 à 14 h :
http://www.franceinter.fr/emission-la-marche-de-l-histoire-le-temoin-du-vendredi-boris-pahor-de-l-autriche-hongrie-a-la-yougos

CLIQUEZ ICI POUR ÉCOUTER ET VOIR BORIS PAHOR AU PARLEMENT EUROPÉEN, FILMÉ ET MIS EN LIGNE SUR MON VIMEO IL Y A 7 MOIS :
http://vimeo.com/77903018

Boris Pahor et moi Fabienne à l'issue de la projection du documentaire, samedi 14 juin au cinéma Saint-André-des -Arts. Photo Arnaud Baumann. Tous droits réservés.

Boris Pahor et moi Fabienne à l’issue de la projection du documentaire, samedi 14 juin au cinéma Saint-André-des -Arts.
Photo Arnaud Baumann. Tous droits réservés.

La PROJECTION EN AVANT-PREMIÈRE DU FILM “ Boris Pahor, portrait d’un homme libre ”, 98 minutes : c’était le samedi 14 juin 2014 à 11H15, au cinéma “ LE SAINT ANDRÉ DES ARTS ” !

Evénement organisé grâce au soutien de l’Ambassade de Slovénie, des éditions “ Pierre Guillaume de Roux “ et de“ La Table Ronde “.

EN PRÉSENCE DE BORIS PAHOR !

Boris Pahor et Liza Japelj de l'Ambassade de Slovénie, arrive au cinéma Saint-Adré-des Arts le 14 juin 2014

Boris Pahor et Liza Japelj de l’Ambassade de Slovénie, arrivent au cinéma Saint-Adré-des Arts le 14 juin 2014. Photo Patrice Issartel

Boris Pahor est reparti à Trieste chez lui dimanche.

Boris Pahor à son arrivée à Paris le 12 juin 2014 et Liza Japelj de l'Ambassade de Slovénie.

Boris Pahor à son arrivée à Paris le 12 juin 2014 et Liza Japelj de l’Ambassade de Slovénie.

L’annonce de la projection par le Nouvel Observateur :
http://bibliobs.nouvelobs.com/agenda/20140529.OBS8905/14-juin-2014-boris-pahor-portrait-d-un-homme-libre-75006.html

Et voilà des articles en slovène :

http://www.ljnovice.com/default.asp?podrocje=37&menu=37&novica=192654

http://www.rtvslo.si/kultura/drugo/svobodni-moz-boris-pahor-dan-drzavnosti-praznoval-s-slovenci-v-parizu/339479

Les articles reprennent des éléments du communiqué de l’Ambassade de Slovénie dont voilà une traduction :
Avant-première de Boris Pahor – portrait d’un homme libre à Paris
Samedi 14 juin 2014 au cinéma Le Saint-André des Arts à Paris le long-métrage documentaire de réalisatrice Fabienne Issartel sur la vie de l’écrivain slovène de Trieste a été projeté. Nombre de représentants de la République des Lettres sont venus honorer de leur présence Boris Pahor, venu tout spécialement pour l’occasion. Après la projection, le héros centenaire s’est adressé à la salle en disant que le thème n’était pas tant lui-même que les trois totalitarismes qui ont ravagé le XXème siècle. Il a insisté sur le rôle des déportés politiques qui, contrairement aux victimes de la Shoah, s’étaient retrouvés dans les camps pour actes de résistance et lutte pour la liberté.
Le film a été très bien reçu: un documentaire de l’avis général clair et bien documenté qui grâce au parti pris personnel de la réalisatrice est allé droit au cœur des spectateurs. Fabienne Issartel a réussi le défi d’englober en 98 minutes un siècle d’existence avec tous ses rebondissements, depuis l’incendie du Palais slovène de Trieste par les fascistes en 1920 jusqu’aux séjours dans divers camps de concentration nazis, le sanatorium et la résurrection par l’amour en France, la revue Le Golfe (éditée pendant 30 ans à Trieste, elle offrait un bol d’air à l’intelligentsia slovène) l’affaire Kocbek, la défense des langues régionales en Europe et jusqu’au dernier livre présenté à Ljubljana en 2012.
La réalisatrice française Fabienne Issartel qui tourne régulièrement des documentaires pour la télévision publique, s’est mise à partir de 2008 à suivre « comme une ombre » notre écrivain dans tous ses déplacements en France – écoles, soirées littéraires, festivals. Elle l’a visité à Trieste, a grimpé avec lui sur le Karst et au Mont Nanos, a suivi sa consécration à Ljubljana à la sortie de son livre Knjiga o Radi… Le résultat est un résumé frappant de la vie et de l’œuvre de l’auteur triestin. Par un heureux hasard, elle est venue chez lui à Trieste pour la première fois exactement le jour où le quotidien Repubblica a publié un grand article à son sujet, révélant aux Italiens non seulement l’homme et sa littérature, mais aussi l’existence d’une communauté slovène à leur frontière orientale. Le documentaire reprend les discours de Pahor sur les heures sombres de l’histoire slovène, en insistant sur le fascisme qui est né à Trieste et qui a fait ses premières armes en y terrorisant sa communauté, chapitre parfaitement inconnu pour le public français. La caméra l’a suivi lors de sa visite au Centre européen du déporté politique sur le site du camp alsacien de Natzweiler-Struthof. La réalisatrice retourne souvent au passé, expliqué à l’aide des cartes pour plus de clarté, sur la place Oberdan, lieu d’incendie du Palais slovène par les chemises noires, moment où la vie du petit Boris a basculé. Elle a enregistré sur la pellicule la dernière partie de la vie de Pahor, période où l’écrivain localement connu se métamorphose en ambassadeur européen de la mémoire, de la justice, de l’éthique, mais aussi de l’amour. Ainsi, le documentaire accède au statut de testament, légué en plus de sa littérature aux générations futures.
A la matinée de samedi, bien de ses collègues écrivains, journalistes et éditeurs ont répondu présents pour rendre hommage au doyen des Citoyens européens: Christiane Hessel, veuve de Stéphane, auteur d’Indignez-vous et camarade de Boris dans le camp de Dora, Sylvestre Clancier, le président d’honneur du PEN français, Pierre-Guillaume de Roux, Delfeil de Ton, René de Ceccatty, Raphael Sorin, Thierry Clermont, Elisabeth Barillé, Pacôme Thiellement… Se sont déplacés également le photographe Evgen Bavcar, le philosophe Edvard Kovač et la famille Pilon au grand complet, les descendants du Montparnos slovène Veno Pilon, chez qui Boris avait trouvé son premier refuge à Paris aux temps jadis. Le centenaire triestin a donné également quelques entretiens, au Figaro, à la Revue des Deux Mondes et à Cassandre.
Le communiqué officiel de l’Ambassade de Slovénie

Les retrouvailles de Boris Pahor et de Blandine de Caunes des éditions Phébus. Photo Arnaud Baumann. Tous droits réservés.

Les retrouvailles de Boris Pahor et de Blandine de Caunes des éditions Phébus. Photo Arnaud Baumann. Tous droits réservés.

L'écrivain Boris Pahor chez lui à Trieste en 2009

L’écrivain Boris Pahor chez lui à Trieste en 2009

Une signature des ouvrages de Boris Pahor a eu lieu à l’issue de la projection ! Boris Pahor a dédicacé sans relâche une centaine d’ouvrages pendant 3 heures, sans boire ni manger

Boris Pahor dédicace un de ses ouvrages à Christel Baras au bistrot Saint André le 14 juin 2014. Photo Arnaud Baumann. Tous droits réservés.

Boris Pahor dédicace un de ses ouvrages à Christel Baras au bistrot Saint André le 14 juin 2014.
Photo Arnaud Baumann. Tous droits réservés.

Vous pouvez commander les livres de Boris Pahor auprès de Xavier de Marchis, de la librairie « Contretemps », rue Clerc qui était présent à l’avant première du documentaire sur Boris.

Boris Pahor signe son dernier ouvrage paru en France aux éditions Pierre Guillaume de Roux. Le 14 juin 2014 au bistrot Saint André. Photo Arnaud Baumann. Tous droits réservés.

Boris Pahor signe son dernier ouvrage paru en France aux éditions Pierre Guillaume de Roux. Le 14 juin 2014 au bistrot Saint André.
Photo Arnaud Baumann. Tous droits réservés.

Boris Pahor et Cristina firla le 14 juin au bistrot Saint André. Photo François Carton.

Boris Pahor et Cristina firla le 14 juin au bistrot Saint André.
Photo François Carton.

Boris Pahor dédicace ses livres à de très jeunes lecteurs à Nantes

Boris Pahor dédicace ses livres à de très jeunes lecteurs à Nantes en 2009

Un verre de l’amitié a été servi pendant les signatures grâce à l’aimable concours de Mme Marjana Gult.
Un grand merci à elle !

Madame Marjana Gult

Madame Marjana Gult au bistrot Saint André

Cliquez ici pour visualiser le flyer officiel de l’événement :

avant-première Boris Pahor Paris

L'artiste Evgen Bavcar et Andrée Lück-Gaye, traductrice des principaux ouvrages de Boris Pahor, à la sortie de la projection du 14 juin.

L’artiste Evgen Bavcar et Andrée Lück-Gaye, traductrice des principaux ouvrages de Boris Pahor, à la sortie de la projection du 14 juin.

HISTOIRE D’UN HOMME & HISTOIRE D’UN FILM !

Boris pahor a enlevé ses lunettes pour consulter son vieux dictionnaire italien/slovène qui date du temps du fascisme.

Boris pahor a enlevé ses lunettes pour consulter son vieux dictionnaire italien/slovène qui date du temps du fascisme.

“ Le documentaire « Boris Pahor, portrait d’un homme libre » donne la parole au grand écrivain slovène de Trieste, Boris Pahor, qui aura bientôt 101 ans. Cet européen humaniste, rescapé des camps, et qui a traversé le siècle, nous livre dans ce film sa vision d’un monde où, pour gagner sa liberté, il a dû sans arrêt lutter contre les totalitarismes qui ont croisé sa vie. Tout commence à Trieste en 1920 quand il voit enfant les “ Chemises Noires “ de Mussolini mettre le feu à la Maison de la Culture Slovène tout près de chez lui. Puis on lui interdit de parler sa langue slovène. Le petit Boris doit devenir italien de force. Ce traumatisme sera le moteur de son existence. Toute fumée ensuite, et jusqu’aux rougeoiements le soir dans le ciel de Trieste, lui rappelleront sans cesse que l’incendie lui a volé son âme. C’est avec la culture justement et sa machine à écrire qu’il participe auprès des siens – les Slovènes – à la résistance contre le fascisme, le nazisme, puis plus tard, le communisme de Tito. Il sera conduit pour cela, après 43, dans les camps nazis. Interné entre autre en France au camp du Struthof, il ne devra sa survie qu’à sa capacité à parler de nombreuses langues étrangères et notamment l’allemand. Son récit des camps, « Pèlerin parmi les ombres », publié d’abord en France en 90, est souvent comparé à celui de Primo Levi “ Si c’est un homme “. De retour à Trieste, après la guerre, il dirige une revue littéraire engagée – “ Zaliv “ ( Le Golf ) – qui est acheminé clandestinement vers la Yougoslavie, redonnant du souffle à ceux auxquels on a muselé la parole derrière le rideau de fer. Il paye cher sa liberté. Boycotté d’un côté en tant que slovène par les intellectuels de la communauté italienne de Trieste, il est aussi interdit de séjour de l’autre, par la Slovénie de Tito. Il passe ainsi une grande partie de son existence dans l’anonymat. Professeur de littérature italienne pour gagner sa vie, il poursuit pourtant inlassablement son travail d’écrivain dans la cave de sa maison ou dans la solitude du plateau du Karst.

Boris Pahor et sa chère machine à écrire !

Boris Pahor et sa chère machine à écrire !

“ Reconquérir dans ma langue mon pays : c’est la première liberté que je me suis donnée ! “, dit Boris Pahor. En 2008, après voir lu ses ouvrages traduits en français, je décide d’aller lui rendre visite chez lui à Trieste. Je suis tout de suite fascinée par son étonnante énergie ! Boris Pahor me raconte alors son histoire, par bribes, dans un excellent français. Au récit de sa vie se superpose naturellement, l’autre histoire : celle de nos rencontres entre 2008 et 2013. Je filme souvent seule, persuadée que je dois faire ce film. Que ce soit avec Stéphane Hessel à Paris, au camp du Struthof dans les Vosges, chez lui à Trieste, ou à Bruxelles pour la remise d’une médaille du Citoyen Européen, Boris Pahor est toujours le même, préoccupé de vérité et de justice.

Boris Pahor et Raphaël Sorin à Nantes en 2009

Boris Pahor et Raphaël Sorin à Nantes en 2009


C’est un message de mémoire qu’il nous donne, mais aussi d’amour pour l’humanité. Car il aime à dire que l’amour l’a sauvé de tout. Son amour pour les femmes, pour « la Femme », transparaît partout dans son oeuvre dans des pages très sensuelles. Son amour pour la vie se lit aussi en direct, dans ses yeux irradiant d’une lumière étrange, quand il aborde à la fin du film dans la brume au sommet du Nanos, l’idée de sa propre disparition. Vivre en homme libre rendrait-il immortel ? »
La réalisatrice.

Boris Pahor au bistrot Saint André après la projection du documentaire "Portrait d'un homme libre", le 14 juin 2014. Une expression rare de mon héros saisie par l'immense photographe Arnaud Baumann. Photo Arnaud Baumann. Tous droits réservés

Boris Pahor au bistrot Saint André après la projection du documentaire « Portrait d’un homme libre », le 14 juin 2014. Une expression rare de mon héros saisie par l’immense photographe Arnaud Baumann.
Photo Arnaud Baumann. Tous droits réservés

Boris Pahor et Fabienne Issartel : Un grand moment de tournage en haut du mont Nanos en Slovénie

Boris Pahor et Fabienne Issartel : Un grand moment de tournage en haut du mont Nanos en Slovénie

Ce film existe enfin grâce à l’engagement complice de professionnels qui croient, comme moi, à la portée universelle du message porté par la parole de cet homme qui a traversé le siècle en homme libre.
Nous avons aujourd’hui bien besoin de son message pour mieux construire notre Europe !

Montage : Slobodan Obrenic, Mixage : Rémi Bourcereau, Etallonnage : Thomas Bertay
Textes littéraires de Boris Pahor dits par Marcel Bozonnet

Et aussi :
Merci à Marine Tadié, Christophe Dumay, Guylène Brunet et Brand Ferro pour m’avoir aidé à filmer.
Merci à Yves Laisné, Philippe Lemenuel et Eric Thébault pour le son.
Merci à Sophie Faudel.
Merci au comédien Marcel Bozonnet pour m’avoir dit « OUI » tout de suite pour l’interprétation des voix off littéraires du film.
Merci à Thomas Bertay pour m’avoir donné accès aux équipements de Sycomore Films.
Merci à Pacôme Thiellement et à Arnaud Baumann pour leur soutient permanent.
Merci à Sylvie Goubin qui m’a accompagnée au camp du Struthof.

L'ingénieur du son et mixeur Rémi Bourcereau (à gauche)  et Slobodan Obrenic (monteur et graphiste) pendant le mixage du film devant les locaux de Sycomore Films.

L’ingénieur du son et mixeur Rémi Bourcereau (à gauche) et Slobodan Obrenic (monteur et graphiste) pendant le mixage du film devant les locaux de Sycomore Films.

Thomas Bertay chez lui à Sycomore Films, a réalisé l'étallonnage du film. Photo Arnaud Baumann.

Thomas Bertay chez lui à Sycomore Films, a réalisé l’étallonnage du film. Photo Arnaud Baumann.

Les textes littéraires des oeuvres de Boris Pahor en voix off dans le film sont dîts par le magnifique comédien Marcel Bozonnet. Merci à lui !   Photo tous droits réservés.

Les textes littéraires des oeuvres de Boris Pahor en voix off dans le film sont dîts par le magnifique comédien Marcel Bozonnet. Merci à lui !
Photo tous droits réservés.

la réalisatrice Guylène Brunet m'a prêté main forte ici pour le tournage de la rencontre Boris Pahor et Stéphane Hessel, et m'a accompagné à Bruxelles pour la remise à notre héros de la médaille du citoyen européen.

la réalisatrice Guylène Brunet m’a prêté main forte ici pour le tournage de la rencontre « Boris Pahor – Stéphane Hessel », et m’a accompagnée à Bruxelles pour la remise à notre héros de la Médaille du Citoyen européen en 2013.

L'équipe de Petra Pan film production m'a aidé pour un tournage à Trieste en 2009. A gauche le directeur de la photo Brand Ferro. A droite son frère Pablo. De dos à droite : la réalisatrice Petra Seliskar.

L’équipe de Petra Pan film production de Ljubljana m’a aidée pour un tournage de Boris Pahor à Trieste en 2009. A gauche le directeur de la photo Brand Ferro. A droite son frère Pablo. De dos à droite : la réalisatrice Petra Seliskar.

La directrice de la photo Marine Tadié filme Boris Pahor et Antonia Bernard dans le train entre Melun et Paris en 2009.

La directrice de la photo Marine Tadié filme Boris Pahor et Antonia Bernard dans le train entre Melun et Paris en 2009.

La photographe Sylvie Goubin m'a accompagnée pendant quatre jours lors de mon tournage au camp du Struthoff dans les Vosges en novembre 2009. Photo Sylvie Goubin.

La photographe Sylvie Goubin m’a accompagnée pendant quatre jours lors de mon tournage au camp du Struthoff dans les Vosges en novembre 2009. Photo Sylvie Goubin.

L'ingénieur du son Yves Laisné à gauche), les directeurs de la photo Christophe Dumay (au centre) et Marine Tadié (à droite) au théâtre de l'Odéon pour la rencontre Imre Kertesz Boris Pahor en janvier 2009.

L’ingénieur du son Yves Laisné (à gauche), les directeurs de la photo Christophe Dumay (au centre) et Marine Tadié (à droite) au théâtre de l’Odéon pour la rencontre « Imre Kertesz – Boris Pahor » en janvier 2009.

ON PARLE DE BORIS PAHOR DANS TOUTE L’EUROPE !

Boris Pahor et la tasse de café le 14 juin 2014 au Bistrt Saint André. Photo Laurent Charpentier.

Boris Pahor et la tasse de café le 14 juin 2014 au Bistrt Saint André. Photo Laurent Charpentier.

ITALIE :
Le 14 juillet 2014 :
http://cultura.panorama.it/libri/pahor-shoah-letteratura-bompiani-trieste

http://www.spoletonline.com/?page=articolo&id=148475

ALLEMAGNE :
http://www.welt.de/kultur/literarischewelt/article129539291/Europa-ist-Antwort-auf-Problem-der-Nationalitaet.html

SLOVENIE : un article de la télévision slovène qui relate son passage récent en Allemagne et aussi la projection parisienne.
http://www.rtvslo.si/kultura/drugo/boris-pahor-gost-spominske-razstave-o-slovenskih-zrtvah-fasizma/340341

ESPAGNE :
http://blogs.cadenaser.com/como-esta-el-mundo/boris-pahor-102-anos-en-la-ser-hay-que-terminar-con-los-nuevos-campos-de-concentracion-o-vamos-otra-guerra-mundial/330

Boris Pahor aime les femmes et elles le lui rendent bien. Photo Laurent Charpentier.

Boris Pahor aime les femmes et elles le lui rendent bien. Photo Laurent Charpentier.

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