Archives de Tag: Ivan illich

Après sa diffusion le 26 septembre sur France 3, « CHACUN CHERCHE SON TRAIN » de Fabienne Issartel, 52′, se promène ! Le 11 octobre, le film était à St- Pierre-des-Corps ! Il sera projeté au festival des Escales documentaires de La Rochelle le samedi 12 novembre à 16 h. L’AVANT-PREMIÈRE du 15 septembre 2016 au Cin’Hoche de Bagnolet avait réuni quelques 200 spectateurs enthousiastes.

Médéric Collignon et Pacôme Thiellement pendant le tournage de "Chacun cherche son train" au Groundcontrol à Paris, octobre 2015. Médéric improvise à partir des dessins du livre "Grande vitesse" de Jochen Gerner

Médéric Collignon et Pacôme Thiellement pendant le tournage de « Chacun cherche son train » au Groundcontrol à Paris, octobre 2015. Médéric improvise à partir des dessins du livre « Grande vitesse » de Jochen Gerner

CHACUN CHERCHE SON TRAIN, un film de Fabienne ISSARTEL, 52’’

TOUJOURS EN REPLAY pendant encore quelques jours 8 (après les 2 pubs et la longue mire de Bar). Cliquez sur le lien ci-dessous :

http://france3-regions.francetvinfo.fr/aquitaine/emissions/qui-sommes-nous-en-aquitaine/documentaire-chacun-cherche-son-train-lundi-26-septembre-apres-le-grand-soir-3.html

Prochaine projection du film le 12 novembre à 16 h au festival « les Escales documentaires » de La Rochelle (section Escales locales) au MUSEUM d’histoire naturelle, 28 rue Albert 1er.

http://www.escalesdocumentaires.org/films-competition/chacun-cherche-son-train/

Infos pratiques et lieu de ma projection (N° 5 sur le plan) :

http://www.escalesdocumentaires.org/le-festival-2016/infos-pratiques/

l'affiche du festival ESCALES DOCUMENTAIRES de La Rochelle du 8 au 13 novembre 2016

l’affiche du festival ESCALES DOCUMENTAIRES de La Rochelle du 8 au 13 novembre 2016

La dernière projection, c’était mardi 11 octobre à 18 H 30  » dans la magnifique salle de cinéma du Centre culturel de St Pierre des Corps !

L’affiche de l’événement (du 16 septembre au 29 octobre) « Des traits, des trains/ le dessin ferroviaire », une exposition de dessins (Gébé, Dubreuil,Sochard), des rencontres et un film (« chacun cherche son train » !). Cette manifestation originale a été imaginée par Astrid Chabin, responsable du « fonds TRAIN » à la bibliothèque de St Pierre des Corps.

"des traits des trains" du 16 septembre au 29 octobre 2016 à St Pierre des Corps

« des traits des trains » du 16 septembre au 29 octobre 2016 à St Pierre des Corps

Dans la Nouvelle République :

http://www.lanouvellerepublique.fr/Contenus/Articles/2016/10/15/Chacun-cherche-son-train-et-trouve-sa-voie-2871609

Une assemblée chaleureuse et attentive a nourri le débat qui a suivi la projection.
J’étais là pour leur répondre, accompagnée de Marine Tadié qui a réalisée toutes les images du film, et de Dominique Maugars, ancien cheminot de St Pierre des Corps, personnage du documentaire.
Leurs questions :
Mes voyageurs sont-ils de vrais voyageurs ?
Mon discours est-il ou n’est-il pas passéiste ?
Le documentariste doit-il dans ses films répondre aux questions ou bien les poser en donnant envie aux spectateurs d’y réfléchir ?
Quelle place peut prendre la poésie dans nos vies d’aujourd’hui et aussi dans nos films ?
Pourquoi on aime la vitesse et pourquoi aussi on en a toujours eu peur ?
Quel est ce rapport intrinsèque entre le train et le cinéma ?
Que nous disent les images entre les lignes et comment les fabriquer pour qu’elles ne nous trahissent pas ?
Qu’est-ce que le doute ? Est-il ou n’est-il pas un frein à l’idée de mouvement ?

Les spectateurs ont déclaré aussi que le film leur donnait envie de lire Léon Paul Fargue, Alfred Jarry et Ivan Illich… Si les films servent au moins à ça, à donner envie de lire : alors je suis ravie !

Un dessin de Fred Sochard dans l'exposition "des traits-des trains" à la bibliothèque de St Pierre des Corps, octobre 2016 (photo Fabienne Issartel)

Un dessin de Fred Sochard dans l’exposition « des traits-des trains » à la bibliothèque de St Pierre des Corps, octobre 2016 (photo Fabienne Issartel)

Après la projection j’ai pu découvrir l’exposition de dessins à la bibliothèque de St Pierre des Corps qui réunit trois artistes. Exposition très riche et dont certaines oeuvres faisaient d’ailleurs écho aux questionnements de notre débat…

A la fin de mon film, je pose cette question : « Où allons-nous ? »
Et j’y réponds d’une certaine façon en déclarant : « vers ce quelque part qui n’est peut-être nulle part.Et c’est ce doute qui nous pousse à avancer !  »
Voilà deux dessins de Gébé qui a commencé sa carrière de dessinateur dans le magazine : « La vie du rail » qui abordent aussi mes sujets de prédilection.

"Le doute" : dessin de GEBE issu de La vie du Rail et présent dans l'exposition "des traits-des trains" de St Pierre des Corps, octobre 2016 (photo Fabienne Issartel)

« Le doute » : dessin de GEBE issu de La vie du Rail et présent dans l’exposition « des traits-des trains » de St Pierre des Corps, octobre 2016 (photo Fabienne Issartel)

Dessin de GEBE issu de La vie du Rail et présent dans l'exposition "des traits-des trains" de St Pierre des Corps, octobre 2016 (photo Fabienne Issartel)

Dessin de GEBE issu de La vie du Rail et présent dans l’exposition « des traits-des trains » de St Pierre des Corps, octobre 2016 (photo Fabienne Issartel)

Original du dessin de Ferdinand Dubreuil "les hommes du rail" présent dans l'exposition "des traits-des trains" de St Pierre des Corps, octobre 2016 et aussi dans le film "Chacun cherche son train"(photo Fabienne Issartel)

Original du dessin de Ferdinand Dubreuil « les hommes du rail » présent dans l’exposition « des traits-des trains » de St Pierre des Corps, octobre 2016 et aussi dans le film « Chacun cherche son train »hoto Fabienne Issartel)

Le formidable ouvrage 'grande vitesse" de Jochen Gerner, présent dans l'exposition "des traits-des trains" de St Pierre des Corps, octobre 2016 et aussi dans le film "Chacun cherche son train" (photo Fabienne Issartel)

Le formidable ouvrage ‘grande vitesse » de Jochen Gerner, présent dans l’exposition « des traits-des trains » de St Pierre des Corps, octobre 2016 et aussi dans le film « Chacun cherche son train » (photo Fabienne Issartel)

L’avant-première de CHACUN CHERCHE SON TRAIN le 15 septembre 2016 à 21h au Cin’Hoche de Bagnolet a été un beau succès ! Merci aux 200 personnes présentes à cette avant-première très joyeuse !
Voilà quelques photos réalisées par Arnaud Baumann.

La salle du Cin’Hoche se remplit.

La salle du Cin'Hoche se remplit le 15 septembre 2016 à 21h pour l'avant-première à Bagnolet de CHACUN CHERCHE SON TRAIN de Fabienne Issartel. Photo Arnaud Baumann, tous droits réservés.

La salle du Cin’Hoche se remplit le 15 septembre 2016 à 21h pour l’avant-première à Bagnolet de
CHACUN CHERCHE SON TRAIN de Fabienne Issartel. Photo Arnaud Baumann, tous droits réservés.

Ariane Issartel qui a composé et interprété la musique originale du film à l'avant-première du film à Bagnolet. Photo Arnaud Baumann, tous droits réservés.

Ariane Issartel qui a composé et interprété la musique originale du film à l’avant-première du film à Bagnolet. Photo Arnaud Baumann, tous droits réservés.

SYNOPSIS :
« Immobiles devant les fenêtres du train, nos écrans de cinéma, ou ceux des ordinateurs, nous regardons défiler notre monde en pleine mutation. « Les écrans sont ces miroirs du temps qui annulent l’horizon » dit Paul Virilio, le grand penseur de la vitesse. « Alors, comment retrouver un rythme propre, notre petit tempo battant, au coeur de cette accélération inéluctable ? », se demandent les protagonistes du film, passagers en quête de sens sur le chemin furtif de la vie, et dont le train devient ici la métaphore. Un « film promenade » – pour croiser les reflets de nos âmes qui deviennent, le temps du film, « le paysage » mouvant du voyage. Où vont-ils ? Eux ? Moi ? Où allons-nous ? « Chacun cherche son train » ! Un film en marche, dans lequel l’homme et la machine cherchent désespérément à s’aimer. Un film pour « refaire le monde » à notre image ! »

Réalisation : Fabienne Issartel – Image : Marine Tadié – son : Olivier Vieillefond – Montage : Xavier Franchomme – Musique originale : Ariane Issartel – Une coproduction MARMITAFILMS/FRANCE TELEVISIONS (52 minutes)

Avec les voyageurs filmés :

Hermine Karagheuz (actrice), Pacôme Thiellement (écrivain), Médéric Collignon (musicien), François Abdelnour (cinéaste), Klavdij Sluban (photographe), Benoît Duteurtre (écrivain), Dominique Maugars, (cheminot et cinéaste), Marc Armengaud (architecte), Denis Brochard (architecte), Denis Sire (dessinateur), Yves Belaubre (scénariste), Lola Salès (géographe), Pascal Desmichel (géographe), Julien Rapegno (journaliste), Jean-René Malivert (ferrovipathe), Dominique Olivier, Michel Prioux et Rémi Sagot (conducteurs de locomotives).

Et aussi, l’ouvrage « Grande vitesse » de Jochen Gerner, les dessins de Ferdinand Dubreuil, les textes d’Alessandro Baricco.

Et encore les magnifiques conducteurs de la locomotive du « train des Mouettes » dans lequel une scène de « Chacun cherche son train » a été tournée.
Cliquez ici pour découvrir le visage et l’identité de mes voyageurs :

CHACUN CHERCHE SON TRAIN – les voyageurs !

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Hermine Karagheuz et Pacôme Thiellement à Bagnolet (photo Arnaud Baumann)

Dans « Chacun cherche son train », Hermine et Pacôme voyagent ensemble dans le  » train des Mouettes » en Charentes Maritimes entre Saujon et la Tremblade…

http://www.ville-bagnolet.fr/index.php/lire-actualite/items/chacun-cherche-son-train-1559.html

Marc Armengaud, philosophe, urbaniste et architecte, dans "chacun cherche son train"

Marc Armengaud, philosophe, urbaniste et architecte, dans « chacun cherche son train »

La première diffusion à la télévision a eu lieu le 26 septembre sur France 3 Poitou Charentes et France 3 Limousin après le grand Soir 3.

L’affiche du film : une image tournée à Angoulême en fin de journée

Cliquez ici :

Affiche du film « Chacun cherche son Train » de Fabienne Issartel, 52′, 2016

La directrice de la photo : Marine Tadié

Marine Tadié, la Directrice de la photo du film "Chacun cherche son train"

Marine Tadié, la Directrice de la photo du film « Chacun cherche son train »

Musique originale : Ariane Issartel

La violoncelliste Ariane Issartel qui a composé et interprété la musique originale du film "Chacun cherche son train" de Fabienne Issartel

La violoncelliste Ariane Issartel qui a composé et interprété la musique originale du film « Chacun cherche son train » de Fabienne Issartel

Olivier Viellefond a réalisé toutes les prises de sons des tournages de "Chacun cherche son train"

Olivier Viellefond a réalisé toutes les prises de sons des tournages de « Chacun cherche son train »

Klavdij Sluban, photographe, dans "Chacun cherche son train"

Klavdij Sluban, photographe, dans « Chacun cherche son train »

Voilà quelques éléments qui ont régie ma réflexion pour construire ce film :

L’actualité  :

En 2017, une toute nouvelle ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique sera mise en service. On pourra alors rejoindre Bordeaux de la capitale à 320 kms/h et en 2 h et 5 minutes, au lieu de 3 heures actuellement… Que d’avancées depuis 1829 où la fameuse « Rocket » de George Stephenson fit sensation, circulant à Rainhill en Angleterre à 59 kms/h devant un public médusé et effrayé. En 1853, 24 ans plus tard seulement, quatre trains reliaient déjà quotidiennement la ligne Paris Bordeaux, le train le plus rapide effectuant alors le parcours en un peu plus de treize heures… Notre espace-temps se réduit donc toujours plus. Jusqu’où ? Et quelle conséquence cela aura-t-il sur nos vies ?

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Le magazine Life en 1964 :

« En 1964, le magazine Life déclarait déjà que le plus important problème de société auquel nous serions confrontés demain serait de savoir ce que nous ferions de ce temps libre… Nous n’avons pas aujourd’hui l’impression de disposer de plus de temps : au contraire, nous en avons toujours trop peu. Nous vivons dans une pénurie de temps, une “famine temporelle”, comme la décrivait en 1999 les sociologues américains John Robinson et Geoffrey Godbey.Toutes les sociétés modernes sont caractérisées par une pénurie de temps » disaient-ils : « plus une société est moderne, et moins elle a de temps”. Ce n’est pas le pétrole qui nous manquera un jour, mais plutôt le temps… »

Paul Virilio, le grand penseur de la vitesse :

« L’écologie grise devrait, et devra, aussi, traiter la pollution des distances. Car les choses existent à travers des proportions. Au-delà de 2,5 mètres, nous ne sommes plus homme. Or, la vitesse des transports et des transmissions instantanées réduit le monde à rien. Nous vivons une époque singulière où notre appréciation des échelles de temps et de distances est bouleversée. L’écologie doit maintenant réaccorder la philosophie et la science. Si l’écologie veut être une science utile à l’humanité, à la démocratie, à la liberté, elle doit être à la fois ouverte à la techno-science mais aussi à la philo-science. »

Ivan Illich :

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Ivan Illich (un des penseurs de l’écologie politique) : « à partir du moment où la société industrielle, par souci d’efficacité, institutionnalise un moyen, que ce soit un outil, un mécanisme, ou un organisme – afin d’atteindre un but, ce moyen tend à croitre, jusqu’à dépasser un seuil où il devient dysfonctionnel et nuit au but qu’il est censé servir. Ainsi l’automobile nuit au transport, l’école nuit à l’éducation et la médecine nuit à la santé. L’institution devient alors contre-productive, et contribue à aliéner l’être humain et la société dans son ensemble. »

Extrait des « Châteaux de la colère » d’Alessandro Baricco :

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« Dans les trains pour sauver leur peau, pour arrêter la rotation perverse de ce monde qui les martelait là-bas de l’autre côté de la vitre, et pour esquiver la peur, et pour ne pas se laisser engloutir par le vertige de la vitesse qui forcément cognait sans cesse dans leur cerveau autant que sur la forme de ce monde frôlant l’autre côté de la vitre sous des apparences jamais vues jusque-là, surprenantes sans doute, mais impossibles, parce que s’abandonner un seul instant relançait instantanément la course de la peur, et donc cette épaisse et profonde angoisse qui au
moment de se cristalliser en pensée se révélait de toute façon n’être rien d’autre que la sourde pensée de la mort – dans les trains pour sauver leur peau, ils prirent l’habitude de s’en remettre à un geste méticuleux, un exercice d’ailleurs conseillé par les médecins eux-mêmes et d’illustres savants, une stratégie minuscule de défense, évidente mais géniale, un petit geste exact, et splendide.Dans les trains, pour échapper à ça, ils lisaient. Le baume parfait. L’exactitude fixe de l’écriture comme suture d’une terreur. L’oeil qi trouve dans les infimes virages dictés par les lignes une échappatoire nette à ce flux indistinct d’images que la fenêtre impose. On vendait dans
les gares des lampes exprès pour ça, des lampes de lecture. Elles se tenaient d’une main, elles dessinaient un cône intime de lumière à fixer sur la page ouverte. Il faut imaginer ça. Un train lancé dans une course furieuse sur deux lames de fer, et dans ce train un petit coin d’immobilité magique minutieusement découpé par le compas d’une petite flamme. La vitesse d train et la fixité du livre éclairé. L’éternellement changeante multiformité du monde tout autour, et le microcosme pétrifié d’un oeil qui lit. Comme un noyau de silence au coeur d’une détonation… »

François Truffaut dans « La nuit américaine » :

« Un film avance comme un train : comme un train dans la nuit » dit François Truffaut à Jean-Pierre Léaud dans « la Nuit américaine ».

« Tu vois, c’est ça notre travail de réalisateurs! »

 

L'affiche du documentaire "chacun cherche son train" de Fabienne Issartel

L’affiche du documentaire « chacun cherche son train » de Fabienne Issartel

 

Les magnifiques conducteurs de la locomotive du "train des Mouettes" dans lequel une scène de "Chacun cherche son train" a été tournée

Les magnifiques conducteurs de la locomotive du « train des Mouettes » dans lequel une scène de « Chacun cherche son train » a été tournée

Pascal Desmichel, géographe et fils de cheminot, dans "Chacun cherche son train"

Pascal Desmichel, géographe et fils de cheminot, dans « Chacun cherche son train »

Benoît Duteurtre, écrivain, dans "Chacun cherche son train"

Benoît Duteurtre, écrivain, dans « Chacun cherche son train »

UNE NOUVELLE PROJECTION DU FILM EN OCTOBRE !
Réservez votre billet de train pour Saint-Pierre des Corps !Au mois d’octobre (le 11 octobre à 18 h 30) le film sera diffusé à Saint-Pierre des Corps, haut-lieu ferroviaire. Dominique Maugars, ancien cheminot de St Pierre des Corps, et que j’ai filmé dans « chacun cherche son train » sera bien sûr présent à mes côtés.

Dominique Maugars, ancien cheminot et cinéaste, à St Pierre des Corps, filmé pour le documentaire "Chacun cherche son train"

Dominique Maugars, ancien cheminot et cinéaste, à St Pierre des Corps, filmé pour le documentaire « Chacun cherche son train »

http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre-et-Loire/Communes/Saint-Pierre-des-Corps/n/Contenus/Articles/2016/08/19/La-bibliotheque-est-deja-sur-les-rails-2813355

Voilà l’affiche de ce bel événement (du 16 septembre au 29 octobre) qui propose autour du titre « Des traits, des trains: le dessin ferroviaire », une exposition de dessins (Gébé, Dubreuil,Sochard), des rencontres et un film (« chacun cherche son train ») :

"des traits des trains" du 16 septembre au 29 octobre 2016 à St Pierre des Corps

« des traits des trains » du 16 septembre au 29 octobre 2016 à St Pierre des Corps

Pacôme Thiellement dans la salle du Cin'Hoche pour l'avant-première de "Chacun cherche son train" le 15 septembre 2016. Photo Arnaud Baumann. Tous droits réservés

Pacôme Thiellement dans la salle du Cin’Hoche pour l’avant-première de « Chacun cherche son train » le 15 septembre 2016. Photo Arnaud Baumann. Tous droits réservés

Dessin de Fred Sochard,  présent dans l'exposition "des traits-des trains" de St Pierre des Corps, octobre 2016 (photo Fabienne Issartel)

Dessin de Fred Sochard, présent dans l’exposition « des traits-des trains » de St Pierre des Corps, octobre 2016 (photo Fabienne Issartel)

Un épisode dessiné de "la petite halte" de GEBE, document de "la vie du rail" présent dans l'exposition "des traits-des trains" de St Pierre des Corps, octobre 2016 (photo Fabienne Issartel)

Un épisode dessiné de « la petite halte » de GEBE, document de « la vie du rail » présent dans l’exposition « des traits-des trains » de St Pierre des Corps, octobre 2016 (photo Fabienne Issartel)

Dans mon documentaire, Pacôme Thiellement évoque avec Hermine Karagheuz une scène au début du film « l’an 01 » (Jacques Doillon, Gébé, Alain Resnais et Jean Rouch)où le personnage déclare :

« et un jour ce train, et bien, je ne l’ai pas pris ! »

Pour revoir cette scène avec Gérard Depardieu :

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